Alors comme ça vous voulez en savoir plus sur moi?

Et bien tout d’abord, je suis ravi de vous accueillir sur mon site qui j’espère vous aidera à vous lancer ou à propulser votre activité d’indépendant au niveau supérieur.

Je m’appelle David Vennink, heureux papa de 3 enfants, et j’ai la joie d’aider les Consultants et Formateurs Indépendants à (re)découvrir le plaisir de vendre leur savoir-faire au meilleur prix afin qu’ils gouttent à la liberté d’un business rentable et passionnant.

Autrement dit, mes clients prennent confiance dans leur capacité à se vendre, ils apprennent à maîtriser les étapes incontournables d’un processus de vente et négocient de meilleurs accords avec leurs clients.

Restons connectés



Des débuts difficiles

Quand je me suis lancé dans le monde du commerce en 2002, mon désir était d’être utile aux personnes que je rencontrais pour gagner ma vie tout en prenant du plaisir

Je suis de nature sociable et ouvert aux autres, mais je me suis vite rendu compte qu’être sociable n’est pas suffisant pour réussir à trouver des clients.

Prospecter était une vraie corvée, j’avais constamment l’impression de déranger et d’être considéré comme un démarcheur de centre d’appels.

Malgré mes efforts, j’avais honte de mes maigres résultats. 

Pourtant, j’appliquais à la lettre ce qu’on m’avais appris en école de commerce : j’utilisais les techniques de prise de rendez-vous et en rdv je suivais les techniques de vente que l’on m’avais enseignées.

Je culpabilisais de ne pas fournir des résultats dignes de ce nom, je ne savais pas comment faire pour améliorer les choses, mon entourage doutait sérieusement de  ma réussite …Bref j’en suis venu à me demander si je devais continuer dans cette voie ou bien si j’allais être contraint d’abandonner et chercher une autre activité.

Il m’aura fallu presque cinq ans de frustration, de doute, de culpabilité, pour me fixer un ultimatum et décider de chercher à savoir comment réussir à vendre mes services sans avoir à changer ma personnalité, à  me faire passer pour quelqu’un que je ne suis pas, à me transformer en archétype du vendeur de pacotille.

Le défi qui a changé ma vie

J’ai décidé de changer d’entreprise pour prendre un nouveau départ et m’autoriser une dernière chance. Je ne pouvais pas décevoir mes proches.

J’avais investit 3 ans d’études en école de commerce en alternance et laissé passé près de 2 ans dans une expérience proche de l’échec total. Je ne pouvais pas assumer un nouvel échec. Sois je trouvais des solutions pour réussir dans le commerce soit je n’avais plus qu’à tout reprendre à zéro.

Mais je ne me voyais pas imposer cette 2ème option à ma compagne.

Évidemment les premières semaines n’ont pas été meilleures que par le passé.
Je continuais à avoir l’impression de déranger quand j’allais solliciter un interlocuteur pour prendre rdv.

Mais j’analysais beaucoup la réussite de ceux qui avaient les meilleurs résultats.

Plus je les observais en prise de rendez-vous ou en entretien de vente plus je me rendais compte qu’ils avaient beaucoup de facilité à créer un climat sympathique, dans lequel leurs interlocuteurs se livraient en toute confiance.

Quand je leur demandais leurs secrets, comment ils faisaient pour être autant à l’aise face à leurs prospects, tous me répondaient que leur objectif était de sympathiser le plus vite possible, de créer de l’amitié professionnelle.

On était à des années lumières de ce qu’on nous apprend dans les livres ou en école de commerce et pourtant ils avaient des résultats incroyables.

On m’avait enseigné à dégager une image professionnelle et sérieuse pour inspirer confiance, alors j‘étais complètement effaré quand je les voyais saisir toutes les occasions de se rapprocher de leurs prospects en plaisantant avec eux.

Première prise de Conscience : ``Rester naturel et voir la vente comme un jeu !``

Alors j’ai essayé !

Et je vous avoue que la première fois, trouver une raison pour plaisanter avec un interlocuteur que l’on vient de rencontrer ce n’est pas facile. J’ai du me forcer à sortir de ma zone de confort, aller à l’encontre de tout ce que j’avais appris et faire ce qui pour moi était contre-intuitif.

Mais au final, c’était à la fois incroyable et jouissif de pouvoir plaisanter avec les gens, être naturel et voir que mes interlocuteurs appréciaient ça.

La surprise, me permettait de capter l’attention de mon interlocuteur et la sympathie créait un climat de confiance.

C’était génial ! J’avais découvert le premier déclic qui allait faire de moi l’entrepreneur que je suis devenu.

A chaque nouvelle tentative de prise de rdv je me fixais comme objectif, non pas de prendre rdv, mais de trouver comment créer de l’amitié professionnelle avec mon interlocuteur.

Je n’étais plus focalisé sur le résultat : la prise de rdv ...j’étais focalisé sur l’enthousiasme, la bonne humeur et le plaisir a procurer à mon interlocuteur, et comme par magie, j’ai fais exploser le nombre de rdv pris.

Prospecter était devenu un jeu auquel je prenais beaucoup de plaisir à jouer.

Deuxième prise de Conscience : ``Amorcer la vente``

Améliorer ma technique de prospection fut un premier pas important, mais ce n’était pas suffisant.

Prendre rdv ne signifie pas conclure une vente !

En effet, durant le mois qui a suivi, je réalisais bon nombre de rendez-vous…mais très peu de ventes. Je voulais absolument rompre la « malédiction du bon conseiller » qui malgré beaucoup de rendez-vous dans lesquels règnent un très bon climat d’ambiance et de confiance, n’arrive pas à contourner le fameux « je vais réfléchir » et donc n’arrive pas à conclure.

J’avais levé certains blocages psychologiques en ce qui concerne la prospection mais en ce qui concernait le closing des affaires, j’avais encore plein de barrières mentales.

Pour moi, chercher à conclure une vente malgré le « je vais y réfléchir » signifiait :

  • Forcer le client
  •  Être malhonnête
  • Être un requin
  • Ne pas respecter le client
  • Perdre la confiance de mon client 

Il m’a fallu beaucoup travailler sur moi, et chercher les clés de l’excellence commerciale.

Dans un premier temps, je me suis attelé à suivre scrupuleusement la méthode de vente qui avait été définie par mes prédécesseurs plus expérimentés. Je m’efforçais d’appliquer à la lettre le plan de vente, même les choses qui étaient contre intuitives pour moi, qui me paraissaient à l’époque être des « trucs de vendeurs d’encyclopédie ».

 Notre Directeur Commercial nous disait : « Vous serez des bons commerciaux à mes yeux le jour ou je recevrai une lettre d’un client qui se plaint du fait que vous avez tout tenté pour obtenir sa signature!« 

Entre être un vendeur timoré et un tueur de la vente sans vergogne, j’étais persuadé qu’il y avait moyen de trouver un juste équilibre

Lever les blocages psychologiques

En associant les techniques de vente que j’avais apprises et ma volonté de conquérir des clients dans le respect de LEURS intérêts j’ai pu faire évoluer ma vision de la vente.

Je me suis rendu compte par exemple qu’il est normal entant que client d’hésiter à passer à l’acte (signer) au moment crutial. Malgré le fait que la solution proposée corresponde à ses besoins, que le prospect aie confiance en son partenaire, le client à besoin d’aide pour prendre la décision.

Se centrer sur son prospect pour déceler et lever ses craintes afin de l’accompagner dans sa réflexion et l’aider à prendre la bonne décision est un gage de professionnalisme et respect de son client.

Ce qui m’a interpellé : Mes clients me remerciaient pour mon écoute, mon professionnalisme et mes conseils !

Finalement, la crainte de passer pour un requin, ou la peur de ne pas respecter le client et donc de perdre sa confiance étaient DES CROYANCES LIMITANTES que j’avais et qui m’empêchaient d’être connecté à 100% à mes clients.

Durant l’année qui a suivi j’ai développé cette attitude à avoir durant un entretien de vente. J’avais compris que lors d’une vente, ce qui faisait la différence c’était moi. Ma personnalité, ma capacité à écouter mes prospects, à communiquer, à créer un climat de confiance et à aider mes prospects à passer à l’action.

 

Je réalise enfin mes rêves

A partir de cette époque, j’ai pris énormément de plaisir à travailler avec mes clients et quand ma première fiche de paye à 5 chiffres est arrivée, j’ai pris ma revanche sur mes échecs passés.

Par la suite j’ai pu faire partie des meilleurs performeurs à qui on confiait une clientèle grand compte stratégique et j’ai eu le bonheur de former de nombreux vendeurs à cette démarche commerciale éthique et naturelle, constater leurs progrès et les voir prendre du plaisir à jouer au jeu de la vente. 

Cérémonie de remise des prix du Champion’s Club, événement réservé au performeurs qui réalisent plus de 120% de leur objectif de CA.

Une recherche d'amélioration continue

Outre les « techniques de vente », je me suis énormément intéressé au développement personnel afin de développer mes facultés de communication, de maîtriser ce qui permet d’avoir une attitude gagnante bref de développer mon leadership !

J’ai commencé à lire en 2006 de plus en plus de livres notamment une grande partie sélectionnée par le PersonalMBA (une liste des meilleurs livres business, sur la communication, la motivation, l’organisation, etc.).